• FASHION WEEK PARIS - Anthony Turner pour Kenzo
  • FASHION WEEK PARIS - Anthony Turner pour Kenzo

  • [multicol maxCol ="2"]anthony Turner -470©Thibaut de Saint Chamas pour l'Oréal Professionnel  
    C
    outurier engagé, Kenzo présente sa collection à la Cité du cinéma. " Née de l’observation des ravages de la pêche intensive et pensée pour éveiller les consciences sur le risque de disparition de certaines espèces si rien n’est fait ". Pour les coiffures, l’engagement est le même. Anthony Turner s’explique : " En plus d’afficher un caractère certain et d’être pétrie de convictions et d’idéaux, elle est intimidante. Vous voyez c’est ce genre de fille « bad girl » qui vous met un peu mal à l’aise dans la rue"... D’où ce look androgyne dont la difficulté est de faire cohabiter trois textures : une mèche de côté totalement plaquée, des racines "greasy" à grand renfort de laque et des longueurs marquées dans la nuque à cause d’un élastique porté trop longtemps. Un véritable exercice de style à décliner sur 42 mannequins, et en un temps record.   Les trucs & astuces d’Anthony : - Pour le dirty hair, appliquer des tonnes de gel sur la zone concernée. - Structurer le look. « Pour cela, miser sur des textures bien différentes à base de poudre, gel, laque... L’une de mes associations préférées ? Du gel wet en racines ou sur un côté et des pointes mates, brutes. - Casser les longueurs. L’idée : à l’aide d’un fer à boucler, on imite le cran provoqué par un élastique trop serré ou porté sur des cheveux humides.   Christine Margossian
    backstage
  • Anthony Turner pour Kenzo

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