• MATTHEW KOMA, révélation pop
  • MATTHEW KOMA, révélation pop

  • [row] [one_half] Imaginons que celui qui écoute de la musique soit une maison et qu'une très bonne chanson soit une fête absolument géniale qui se propage dans chaque pièce.
    Elle passe les portes avec fracas (les oreilles, bien sûr), on en ressent les vibrations et apporte du bonheur à tous les niveaux.
    Focus sur une révélation musicale.
      Par Fleur Lempinsky [/one_half] [one_half] 470 [/one_half] [/row] [row] [one_half] Matthew Koma a tiré son inspiration du répertoire d’Elvis Costello et de Bruce Springsteen qu’il n’a jamais cessé d’écouter avec passion. Dès l'âge de trois ans, il a découvert ce dernier et l’a vu sur scène une trentaine de fois.
    Empreint de tradition, l'album Propaganda n'a pas peur de le montrer. Ses chansons ne sont pas pour autant le reflet de mélodies familières, mais elles trouvent leurs racines dans l'histoire qui engendre en premier lieu une grande chanson : le récit.
    En d'autres termes, les chansons de Matthew Koma ne sont pas de simples mots adressés aux fans et il ne s'agit pas pour lui de chanter (ou d'écrire) une kyrielle de titres ; Propaganda représente la marque de gratitude d'un homme à l'égard de ce qui l'a précédé et témoigne de sa [/one_half] [one_half] détermination à créer ce genre de mélodies qui perdure encore et encore.
    Né à Long Island, patrie de Simon and Garfunkel ou encore Harry Chapin et Billy Joel, autrement dit une île imprégnée de chanson, Long Island permet de par son histoire aux jeunes chanteurs de prendre leur envol. Cela demande bien sûr du courage, mais Matthew Koma en a à revendre. Quand on lui a claqué les portes des tournées, il a créé une agence artistique et a sillonné le pays, de fête en fête, avant de rentrer chez lui.
    C'est sûr, il s'est retrouvé à la fin avec seulement 150 dollars en poche et à peine de quoi manger, mais cette expérience a été très précieuse et l'a préparé pour les scènes qu'il partage à présent avec ses compagnons de label, LMFAO et Far East Movement. [/one_half] [/row] MK_01-656 [row] [one_half] Le titre « Parachute » a été le premier et dans son sillage, ont suivi les titres "She", "One" et "Stars" ; chacun de ces titres, à sa façon, évoque le drame porteur d'espoir, la perte et la foi.
    À partir de là, se sont produites des collaborations encore plus fortuites avec Sebastian Ingrosso, Alesso et Ryan Tedder, de Swedish House Mafia, sur le titre "Calling" (Lose My Mind).
    Le destin a continué allègrement à frapper lorsque le PDG d'Interscope Records, Jimmy Lovine a prêté sa fameuse oreille à Matthew Koma. [/one_half] [one_half] Lovine a, bien sûr, produit le classique "Born to Run" de Bruce Springsteen et pour un fan du Boss, être entendu par un tel homme était plus qu'un honneur légendaire. "Je n'aurais jamais pensé me trouver un jour dans la même pièce d'une telle légende et encore moins signer avec son label" , a déclaré Matthew Koma.
    "C'était comme si la boucle était bouclée". Pour un chanteur dont les chansons insistent sur les effets de tournoiement, la boucle bouclée est peut-être l'aboutissement ultime. [/one_half] [/row]

    Matthew Koma - "Years" Acoustic Performance

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